Portraits

Nairi Telmak

Voss...

Epuisée par les derniers événements, je décidai qu'il était temps d'expliquer à ma fille son héritage. Héritage qui n'est malheureusement pas trés glorieux. Elle est le seule espoir pour l'ordre, elle doit comprendre son destin. Elle a en elle une force que je ne posséderais jamais et une volonté intacte. Je ne sais combien de temps , je pourrais résister, j'ai trop de haine et de rencoeurs en moi.

Je sors mon Datapad et je commence à écrire. Je commence par lui parler de ma mére, Anaya Organa, noble d'Aldérande et fervante soldat de la république. Je lui décris son parcours, comment elle a quitté les force de la république, pour retourner sur sa planéte natale. Comment elle a intégré "Les Justes". Les raisons de ses choix.

Je lui parle également de sa rencontre avec mon pére. Un jeune capitaine, pleins d'ambitions qui a su faire chavirer son coeurs et qui fût sa perte.

De douloureux souvenirs remontent à la surface, des larmes ruissellent sur les joues de Nairi, elle sent cette haine qu'elle essaye de refouller, qu'elle doit refouller.

Elle reprend son récit, en commençant par le jour où tout a basculé.

Aldérande..

J'ai 5 ans, je me souviens c'est aujourd'hui que ma mère doit rentrer de son long voyage, je suis insouciante et j'ai aucune idée de ces activités. Je l'attends avec impatience , car elle m'a promis un jolie présent, un bijou qui me porterait bonheur. Ma quiétude fût de courte duré, je ressentie en moi une détresse, j'étais petite, je ne comprenais pas , mais mon lien avec ma mére venait d'être rompu. Des larmes apparaissaient sur mon visage d'ange.

Je me précipita voir mon pére et tout lui dire, lorsque j'entendit son holocom, je m'approche doucement, il detestait que je l'embête lorqu'il était en communication.

Il prononça des mots qui me resterons gravés à tout jamais dans ma mémoire, et que je ne compris sur l'instant . "Tout c'est passé comme prévu général, la cible a été abatu , tout le monde croira que c'était une attaque contre vous".

Après cet événement, mon pére me laissa seule avec ma gouverante, je ne le voyais quasiment pas. J'ai appris à me débrouiller toute seule , même si j'avais des gardes en permanence avec moi.

A l'aube de mes seizes ans, ton grand père, devint Moff, j'ai su ce jour là que je le verrais encore moins qu'avant. C'est à l'époque que j'ai rencontré ton pére, un jeune capitaine sous les ordres de ton grand-pére, j'étais jeune et je n'avais pas l'occasion de rencontrer beaucoup de monde. Il m'a séduit, j'étais jeune et stupide, je suis tombée enceinte, un grand bonheur, moi qui avait perdu ma mére. Bonheur qui fût de courte durée car lorsque ton grand-pére appris la nouvelle , il executa ton pére, il ne lui laissa aucune chance de s'expliquer. Je fût cloitrée jusqu'à ta naissance. Tu était le petit être le plus merveilleux du monde, je t'ai tenu dans mes bras, ma petite Maiw'een , mais tu m'as été arachée, j'avais déshonnoré mon pére et personne ne devait connaitre ton existence.J'ai appris bien plus tart qu'il t'avais confié à de la famille.

Suite à ça, je me suis engagée dans l'armée, à l'insue de mon pére. Je devais lui prouver que je n'étais pas qu'une moins que rien. Je deviens une des meilleurs, l'élite en quelques sortes, on me confier les missions les plus importantes. Je métrisais l'infiltration comme personne. Je dissimulais tout sur ma vie, exepté mon nom. Ton grand pére est puissant, crains et respecté, et personne n'aurait osé poser la main sur moi.

La légion...

Une de mes missions fût d'infiltrer la "Legion Impériale", deuxiéme tournant dans ma vie.

Démasquée rapidement, j'ai dût renoncer à ma carriére d'agent, condition sinéquanone pour rester en vie. De plus je venais de découvrir que tu étais en vie et que tu étais sur Korriban.

Mon séjour à la Légion, ne fût pas des plus reposant. C'est làbas, que j'ai rencontré un seigneur sith, qui m'en a fait voir de toute les couleurs mais qui m'a révélé ma vrai nature. J'étais sensible à la force, étrange car je ne me souvenais pas d'avoir de quelconques dons.

Ce seigneur sith se nomme Barbas, je t'en supplie si tu le rencontre, détourne ton chemin.